Scribes
ânkh ...
"Vivre" …
"La vie" … http://www.aime-jeanclaude-free.com/
Souvenez-vous d'un certain Peiresc, nous sommes alors en 1610.
Il fut probablement l'un des premiers "curieux" du 17e siècle à s'intéresser à l'égypte ancienne.
Aussi, grâce à ses recherches, il pressentit que la lecture des hiéroglyphes passerait par la connaissance du copte. Et, en effet, si Champollion put comprendre les hièroglyphes grâce à la pierre de Rosette, c'est "certainement" aussi parce que tout au long des 17 et 18e siècles les efforts de plusieurs linguistes portèrent sur le copte.
"L'art de voir la nature
est,
aussi bien que l'art de déchiffrer les hiéroglyphes,
une chose qui doit s'apprendre !
Il y a des beautés qui sautent aux yeux
et
d'autres qui sont écrites en hiéroglyphes :
on met du temps à déchiffrer leur splendeur mais,
quand elle est apparue,
elle est plus belle que la beauté !"
(A. Nothomb - J. Constable)
Les hiéroglyphes, une source infinie de fascination.
La "Maison de Vie" est véritablement apparue très tôt dans la lexicographie. Probablement d’ailleurs dès l’Ancien Empire ! Voici un endroit qui, bien probablement, "préparait" les futurs scribes à leur métier.
- Compétence,
- Vocation,
- Comme leur orientation vers des disciplines intellectuelles, manuelles, ...
L’enseignement religieux devait certainement y avoir une place essentielle ! Cependant, maints témoignages démontrent que bien d’autres thématiques y furent développées :
- Les mathématiques,
- L’astronomie,
- La médecine,
- La diplomatie,
- La géographie,
- Les arts de l’architecture,
- La sculpture,
- Les dessins,
- …
Ainsi, sous l’ère Ramesside, la "Maison de Vie" de Bubastis fut visiblement réputée quant à son apprentissage de la médecine, comme les études vétérinaires d’ailleurs ! Toujours au Nouvel Empire, elle semble même avoir influencée les édifications comme les décorations des monuments. La "Maison de Vie" aurait-elle d’ailleurs et ce à Héliopolis, jouée un rôle prépondérant dans la formation des architectes et des décorateurs ? Souvenez-vous de Ramsèsnakht qui fut "conducteur de travaux" sous Ramsès II, il semblait occuper la fonction de "scribe des écrits divins qui sont dans la Maison de Vie". Cela ne pouvait-il pas alors signifier qu’il devait avoir accès aux archives des temples où étaient conservés les recueils et préceptes de l’art de bâtir ?
Alors, quel fut son véritable fonctionnement ? :
- Nous imaginons que les jeunes enfants apprenaient d’abord les rudiments de l’écriture et de la lecture et ce avant d’entrer en apprentissage.
- Notons quand même que le taux d’alphabétisation de la population semblait avoir été très faible et ce paradoxalement au fait, qu’afin de pouvoir occuper une quelconque fonction administrative, il devait être impératif de savoir lire, écrire, …
- ...
Afin de mieux cerner cette institution, rappelons :
- Qu’à Deir el-Medineh d’aucuns suggèrent que seulement 5 à 7% des membres pouvaient espérer devenir scribes (?)
- ...
La "Maison de Vie" ou "Per-Ânkh" était notamment installée dans un temple. Véritable centre de formation pour les scribes, les prêtres, médecins, ... Elle disposait d'une bibliothèque où étaient conservés les précieux papyri. On pourrait pratiquement l'assimiler à un scriptorium.
Nonobstant, différente était la "maison de l'enseignement".
Elle était probablement un lieu que l’on peut assimiler à l’école, certains jeunes enfants apprenaient les rudiments de plusieurs disciplines : lecture, écriture, calcul, ...
La Mission Archéologique Française de Thèbes Ouest (MAFTO), dirigée par l’égyptologue Christian Leblanc, lors de l'exploration d'un autre secteur du Ramesseum aurait visiblement permis de retrouver l'école du temple, une institution encore controversée, à laquelle seules des sources épigraphiques faisaient, jusque-là, mention.
Christian Leblanc nous dit d'ailleurs :
"La découverte de l'école du Ramesseum nous conduit toutefois à nous interroger
sur une éventuelle association de ces deux institutions d’enseignement.
L'esplanade,
où nous avons retrouvé de nombreux ostraca d'écriture malhabile,
aurait pu correspondre à une "maison d'enseignement" "
L’école devait se dérouler dans une cour en plein air.
En revanche, n'a t'on pas découvert 17 unités ou cellules de moyennes dimensions, séparées par des cloisons en briques crues estampillées, pour nombre d’entre elles, au nom du :
"Château de millions d’années de Ramsès I"
n’étaient visiblement pas réservées aux élèves,
mais plutôt aux professeurs et à quelques apprentis,
à qui l’on confiait des exercices de sculpture
et
auraient eu vocation de "maison de vie",
laquelle se situant dans une partie fermée du temple".
La mort "totale",
"Définitive",
Cette une rupture en quelque sorte,
Elle était impensable pour les Égyptiens anciens : ils nous transmettent ainsi un vrai symbole de vie.
Notamment la "Maison de Vie" …
Seated Scribe (2 620 – 2 500 B.C.E) Old Kingdom,
Painted limestone sculpture originally from Saqqara.
Louvre Museum.
Le "scribe accroupi" ...
Nous sommes bien au musée du Louvre à Paris. E 3023, Sully 1er salle 22 vitrine 10.
Il fut découvert le 19 novembre 1850 par l’égyptologue Auguste Mariette, dans un hypogée le long de l'allée des sphinx du Serapeum. Le Louvre en fit l'acquisition dès 1854.
Nous serions au sein de la nécropole de Saqqarah, située sur la rive occidentale du Nil, en face de l'ancienne ville de Memphis, qui a été la capitale de l'Ancien Empire. Une statue probablement de la 4e ou de la 5e dynastie i.e. autour de 2600 à 2350 avant notre ère ...
"[...]
Deux des tombes qui bordent l’allée ont surtout fixé mon attention.
La première est située au nord et appartient à l’Ancien Empire.
[...]
Deux niches, cachées dans une muraille qui n’a pas été complètement abattue, sont ouvertes.
Nous y trouvons, posées à leur place antique, deux admirables statues.
Elles sont en calcaire.
Le nu est peint en rouge, les cheveux en noir, le caleçon court (schenti) en blanc.
Les yeux sont enchâssés dans une enveloppe de bronze qui tient lieu de paupières.
Au milieu des yeux, formés d’un morceau de quartz blanc opaque, est fixé un petit disque de cristal de roche, qui donne à la prunelle ainsi figurée une extraordinaire puissance de vie."
Un véritable chef-d'œuvre de l' "art" de l'Ancien Empire. Une statue frappant immédiatement par son expressivité.
Le buste dressé d'un homme qui semble bien mature, voyez quelques détails précis quant à son âge comme un certain relâchement des muscles dorsaux !
Le visage tendu,
Un regard d’une extraordinaire vivacité,
Une physionomie osseuse quant au visage,
Et que dire de cette obésité du corps,
Les chercheurs estiment qu'il représente un haut fonctionnaire de l'administration. Placée dans la chapelle de culte d'un hypogée, la statue devait certainement participer à des cérémonies et recevait les offrandes pour le défunt. Son rôle avait donc un caractère funéraire.
L'artisan l'a représenté pendant qu'il écrivait en position assise.
Les jambes croisées,
Au-dessus d'elles, repose un parchemin déployé,
Il semble bien réaliser son travail de scribe ! "Voyez" son calame dans sa main (perdu), son shenti, son papyrus.
En calcaire,
De la magnésite,
Du cuivre,
De l'arsenic,
Du bois.
Fut-elle réalisée pour certains membres de la famille royale, fils ou petit-fils comme pouvaient l'être par exemple les fils de Didoufri (4e dynastie) ?
Scribes
Le scribe accroupi exposé au musée du Louvres.
@ Archives Larbor
Sesh fut présent dans tous les secteurs d'activité.
- Exploitations agricoles,
- Ateliers,
- "écrire",
- Et "dessiner",
- A savoir, le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
- ...
Le scribe était un être privilégié dans la société Égyptienne ancienne. Respecté, dans la mesure où il était lettré : n'oublions pas qu'environ 1 à 4% seulement de la population pharaonique devait savoir véritablement lire.
Les scribes formaient de fait une caste de lettrés, représentant la bureaucratie :
- Armée,
- Administration des temples,
- Institution de l’État,
- Ils appartenaient à une classe parfaitement définie et quelque peu fermée.
Car savoir c'est / ce fut aussi :
- Pouvoir,
- Comme prévoir,
- Et Anticiper dans la mesure des leçons acquises grâce à notre passé commun.
Selon l'égyptologue Jean VERCOUTTER :
"L'Égypte fut le premier pays d'Afrique à utiliser l'écriture.
Si l'on en juge
par l'emploi dans le système hiéroglyphique
de "pictogrammes"
représentant des objets
qui n'étaient plus utilisés depuis longtemps
au début de l'époque historique,
il est possible de fixer son invention à l'époque amratienne dite aussi du Nagada I,
c'est-à-dire vers - 4 000,
si l'on suit les dates proposées par la méthode du carbone 14."
Cf. L'Histoire Générale de l'Afrique,
Paris, Jeune Afrique/Stock/UNESCO, 1978, page 27
(L'Amratien tire son nom de El-Amrah, dénomination d'un site se trouvant près d'Abydos en Haute Égypte, voir carte ci-dessus).
Le célèbre musée du Caire expose pour la première fois
à partir de jeudi 14/07/2016
le plus vieux texte écrit sur du papyrus (*) jamais retrouvé,
datant de l'ère du pharaon Khéops 4500 ans BCE.
Ce manuscrit, rare, a été découvert avec d'autres papyrus en 2013 par une équipe d'archéologues français et égyptiens dans la région de Wadi El-Jarf, au sud-est du Caire, sur les rives de la mer Rouge.
Un témoignage qui évoque évoque notamment la construction de la grande pyramide de Guizeh, à l'ouest du Caire : un témoignage particulièrement important vous le comprendrez bien évidemment.
(*) Nous avons conservé tel quel en français le mot latin "papyrus", venu du grec "papyros", qui s'était formé sur le mot originel égyptien "pa-p-ouros", de la même racine que "pharaon", c'est à dire "d'essence royale", car l'usage du papyrus dans l’Égypte Ptolémaïque était un monopole royal, et son usage extrêmement encadré.
C'est de là que vient le français "papier".
"Artefact created 2300 years ago contains text from the Book of the Dead" :
Sic CANTERBURY : "Ce fragment d'enveloppe de linceul ou de momie est fait de lin brun pâle finement tissé et date du début de la période ptolémaïque vers 300 av. Sur le linge sont représentées des scènes du Livre des Morts, montrant un cortège funèbre. Sous la scène funéraire se trouve un texte écrit en hiératique égyptien.
L'illustration, de gauche à droite, comprend : des bouchers découpant un bœuf en offrande ; des hommes transportant des meubles pour l'au-delà ; quatre porte-drapeaux avec des signes de nome (faucon, ibis et chacals) ; une barque funéraire avec les figures d'Isis et de Nepthys de chaque côté ; et un homme tirant un traîneau à l'effigie d'Anubis, protecteur des morts.
Une scène similaire se produit au début de la copie du Livre des Morts sur le Papyrus de Turin."
Capture d'écran
Et afin d'en savoir bien davantage encore :
https://www.facebook.com/1203753733123840/videos/649658352983721
Chert Nebty, une princesse en Égypte ancienne !
- Par
- Le 01/12/2014
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ânkh, un symbole ancré dans l'Histoire de Kemet ...
"Vivre" …
"La vie éternelle" …
"Clé de vie" ...
Le "souffle de vie" ...
Nos anciens concevaient la vie "ânkh" comme un chemin sur lequel il devait avancer, "donner du chemin au pied" ...
http://www.aime-jeanclaude-free.com
"La terre noire"…
"La terre noire fertile" ...
"Le Double Pays", Taouy (tȝ.wj) …
"Le Pays de la terre noire, l'Égypte" ...
Kemet.
Obélisque de la Place de la Concorde, Paris...
Ainsi, km.t nous rappelle à son bon souvenir, nous sommes en Novembre 2012 avec cette probable princesse Chert Nebty !
"Ce qu'il y a de fascinant avec l'Égypte
c'est que toutes les découvertes scientifiques
n'enlèvent rien à son mystère."
Jean-Louis Amella de ladepeche.fr
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Vous pouvez accéder au chapitre en cliquant directement sur le titre de ce dernier !
→ I.T.E …
→ Découverte de l'antichambre …
→ Un couloir partant du sud-est de l'antichambre ...
→ Découverte d'hypogées concernant certains employés ...
→ Afin d'en connaître davantage, je vous invite à consulter :
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La France ...
La Grande Bretagne ...
L’Allemagne, ..., sont des pays bien souvent mentionnés dans l'égyptologie. Nonobstant, les pays Tchèques sont bien loin d'être en arrière-plan dans ce domaine, bien au contraire même.
1920 fut l'année d'enseignement de ce domaine en cette Université Charles.
L’Institut d’Egyptologie Tchèque fut fondé en 1958.
En 1975, Miroslav Verner en devient le directeur et obtint une concession à Abou Sir, à vingt-cinq kilomètres au Sud-Ouest du Caire.
La mission de l'Institut Tchèque d'Egyptologie nous avait alors offerte une nouvelle découverte. Une mission liée à la Faculté des Lettres de l'université Charles de Prague.
Et bien évidemment ...
Avec le reconnu Miroslav Barta, responsable de cette mission.
"Une nouvelle ère
dans l'histoire d'Abousir
et
de Saqqara !"
Selon Mohamed Ibrahim.
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Shert Nebty …
Chert Nebty ...
…
Une princesse pharaonique Cheret Nebty …
5e dynastie …
2 500 B.C.E …
A 25 kilomètres au sud ouest du Caire.
Près de Saqqarah, voici donc un hypogée, sis à Abousir ...
Ladislav Bareš, directeur de l’Institut d’égyptologie tchèque :
"Cette découverte est unique
et
intéressante
car on a mis à jour un grand ensemble de statues
et
de bas-reliefs à l’intérieur du tombeau.
Cela fait longtemps que l’on n’avait pas découvert quelque chose comme cela en Egypte.
Cela ne fait que confirmer que la recherche égyptologique tchèque
fait partie des meilleures au monde."
Voici la nomenclature de cette princesse et ce sur l'un des piliers dans la cour.
© Martin Frouz.
Le site officiel : http://ff.cuni.cz/FF-7563.html?pid=3457
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Abousir ...
Son nom d'origine au sein de l'égyptien antique fut bien Per Ousir : "La demeure d'Osiris".
Sa traduction en grec donna Bousiris.
Puis vint bien logiquement celle en arabe, à savoir Abousir.
Le site fut reconstitué comme vous savez par Ludwig Borchardt qui découvrit quant au complexe de Sahouré, une chaussée de 240 m reliant le temple à la pyramide.
Nous subodorons que ce lieu devait contenir au moins 14 pyramides de la 5e dynastie !
Cartouches des pharaons de la Ve dynastie relevés sur les Tables d'Abydos.
Cependant cette liste ne mentionnait pas Shepseskarê.
Classés dans l'ordre chronologique, de gauche à droite ...
Ochmann-HH.
Fichier sous licence Creative Commons.
-26- Ouserkaf (2 504 - 2496),
-27- Sahourê (2 496 - 2483),
-28- Neferirkarê (2 483 - 2463),
Shepseskarê (2 463 – 2 456),
-29- Neferefrê (2 456 - 2 445),
-30- Niouserrê (2 445 - 2 414),
-31- Menkaouhor (2 414 – 2 405),
-32- Djedkarê-Isesi (2 405 - 2 367),
-33- Ounas (2 367 - 2 347).
Néanmoins seulement 4 demeurent aujourd'hui :
- Néferefrê, Rénéferef ...
Délabrée et jamais elle ne fut achevée.
- Néférirkarê ...
Inachevée.
Ce pharaon introduisit un second cartouche dans sa titulature royale.
- Niousserrê ...
Quant à son temple funéraire, sa construction initiale fut probablement destinée à Néférirkarê, décédé bien prématurément visiblement.
- Le complexe de Sahourê ...
Le mieux conservé comme vous savez.
Abousir.
© L'Institut Tchèque d'Egyptologie
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Un véritable complexe funéraire ...
Une vue d'ensemble du site.
© Martin Frouz.
Le site officiel : http://ff.cuni.cz/FF-7563.html?pid=3457
Miroslav Bárta, directeur de recherche sur la concession tchèque en Egypte :
"Il s’agit de quatre tombes dans la roche,
partiellement décorées.
L’une d’entre elles appartient au superviseur des scribes,
que l’on considérerait aujourd’hui comme un vice-ministre de l’Economie.
Il s’appelait Nefer.
Plusieurs statues en pierre décorent l’entrée de sa tombe.
On a également découvert ces derniers jours d’autres statues dans le ‘serdab’,
une pièce renfermant les statues représentant le propriétaire de la tombe."
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"Nous avons découvert l'antichambre de la
tombe de la princesse pharaonique Chert Nebty,
au centre de laquelle se trouvent
quatre colonnes en calcaire"
M. Ibrahim
L'antichambre serait donc composée de quatre colonnes de calcaire et ce en son centre. Des inscriptions y auraient été également découvertes.
De ce fait, les archéologues pouvaient avec certitude nous préciser quant à la défunte :
- Son nom,
- Ainsi que son titre.
© Martin Frouz.
Le site officiel : http://ff.cuni.cz/FF-7563.html?pid=3457
© Veronika Dulíková
Le site officiel : http://ff.cuni.cz/FF-7563.html?pid=3457
L’identité ainsi que les titres de la maîtresse des lieux furent déterminés grâce aux hiéroglyphes sur les quatre piliers, et ce dans l’antichambre.
Chapelle des hauts dignitaires...
© Martin Frouz.
Le site officiel : http://ff.cuni.cz/FF-7563.html?pid=3457
Un couloir partant du sud-est de l'antichambre ...
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Aussi surprenant que cela puisse paraître ...
Un niveau du couloir ...
Les chercheurs auraient trouvé quatre ouvertures conduisant à autant de nouveaux hypogées.
Deux des défunts proviendraient de l'époque du pharaon Djekarê Isesi de la 5e dynastie.
Ainsi, ils découvrir ce qui fut visiblement deux hauts fonctionnaires, à savoir :
- Le "Grand justicier de la Grande maison" ...
- L' "Inspecteur des serviteurs au palais" ...
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