Amenhotep III, Amāna-Ḥātpa , ce grand souverain ...
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ...
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Pinceau en fibre de palme. 1 390 à 1 352 B.C.E, Thèbes. 18e dynastie, Amenhotep III.Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Je connais les secrets des hiéroglyphes ...Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Mitri a vécu pendant la cinquième dynastie et a servi son pharaon.
Peut-être Unas, vers 2400 B.C.E. Il a construit une grande tombe à l'angle sud-est de l'enceinte de la pyramide échelonnée, près de la chaussée du roi Unas. Le sculpteur a entouré les yeux de cuivre et a utilisé de beaux cristaux de roche pour donner à Mitri un regard calme de gris profond. Les cristaux gris sont souvent bleus sur les photos. C'est un effet frappant §Tableau d'écriture d'un apprenti scribe.
Première période intermédiaire Dynastie 11 ou avant, environ 2 030 B.C.E. Il ressort clairement des hiéroglyphes maladroitement formés et de leur espacement inégal que c'est l'œuvre d'un apprenti scribe qui pratiquait son écriture. Le tableau d'écriture pourrait être utilisé encore et encore en grattant ou en essuyant l'encre et en ajoutant une nouvelle couche de blanc. Un autre tableau d'écriture de la collection montre les corrections faites à l'encre. Le Met New York.Marie-Thé Perardelle.
Vallée des Nobles, TT69, tohypogée de Menna, "Scribe des champs du Seigneur du Double-Pays" Les scribes contrôlent tout !Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
L’ensemble représente le hiéroglyphe du mot « scribe »Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Hiéroglyphe du groupe Y symbolisant la palette du scribe (et par extension, celui-ci).https://www.letemps.ch/culture/premiere-phrase-entiere-decouverte-lun-plus-anciens-alphabets-connus-parle-poux
La première phrase entière découverte dans l’un des plus anciens alphabets connus parle de poux ! «Que cette défense éradique les poux des cheveux et de la barbe»: l’inscription en cananéen, qui figure sur un peigne découvert en Israël en 2016, remonte à plus de 3700 ansSechat en hiéroglyphe
Sechat ...
ânkh ...
"Vivre" …
"La vie" …
Musiciennes tapant dans leurs mains à l'occasion de la heb sed d'Amenhotep III.
Tombe de Kherouef.
Assassif.
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Les pays voisins ...
Ils furent tellement fascinés par la richesse de Kemet qu'ils surnommèrent le père d’Akhenaton, le Grand-père de Toutankhamon, Amenhotep III, "le Roi Soleil".
Surnom repris beaucoup plus tard pour Louis XIV.
Ils ajoutèrent même que "l’or était plus abondant en Égypte que la poussière".
Nous sommes avec le grand-père de Toutankhamon, très jeune sur le trône d'Horus, il épouse la légendaire Tiyi : une union qui perdura 38 années.
Photographie de gauche © Araldo De Luca,
et à droite © bpk Scala Florence.
Au pouvoir pendant 38 ans ...
Le couple a régné sur un empire vaste et prospère de 1391 à 1353 B.C.E et ce sous la 18e dynastie.
Le long règne d'Amenhotep III et son épouse royale, Tiyi ...
Cela fut un âge d'or pour Kemet : le royaume d'Égypte, qui tirait alors sa richesse de Nubie et du Levant, finança une nouvelle ère de constructions et d'expressions artistiques.
Son père, Thoutmôsis IV, lui transmit un royaume prospère et vaste, puissant et influent. L'empire d'Amenhotep s'est lui étendu sur 1 930 kilomètres, de l'Euphrate dans l'actuelle Syrie jusqu'à la quatrième cataracte du Nil dans l'actuel Soudan. Au début de son règne, Amenhotep mena avec succès des campagnes militaires contre la Nubie, une terre riche en or.
Après avoir revendiqué ce nouveau territoire pour l'Égypte, son règne fut principalement pacifique.
Le règne d'Amenhotep III est l'un des mieux documentés de l'Égypte ancienne.
Un(e) véritable :
Voici de fait un lieu véritablement magique que je vous convie d'ailleurs à découvrir, à redécouvrir.
Au premier plan le petit temple de Médinet Habou, son portique d'entrée, l'avant-cour et le pylône ptolémaïque.
Au loin, dans la plaine, voyez les colosses de Memnon !
(Photo de 1867)
Nous sommes bien comme vous savez sur le site de Kôm el-Hettan :
Photo by ashrafezzat.
Remains of the funerary temple of king amenhotep III aka Memnon colossi flanked in the background by the western mountain.
"Carnets d'Egyptologues",
Chris Naunton,
editions E/P/A, 2020 en page 256.
© Patricia Henard.
Hot air balloons over Amenhotep III.
© Antonio Beato
Des statues monolithiques ...
Elles sont taillées dans une brèche siliceuse de quartzite.
Souvenez-vous :
Voici une explication éditée par M. Christian LEBLANC :
Sic : "Le Colosse de Memnon.
Fracassé lors du séisme qui frappa Thèbes en 27 avant notre ère, il fut restauré à la demande de l'empereur Septime-Sévère lors de son voyage en Égypte, entre 199 et 203.
Plusieurs assises de blocs redonnèrent forme au torse sur lequel fut posée la tête.
Cette statue monumentale d'Amenhotep III avec sa jumelle (au sud), ornaient le premier pylône, en brique crue, de son temple de millions d'années. Jadis, les habitants de Gournah lui avait donné le nom de Tami/Tama/Tâma (peut-être de l'ancien égyptien Ta-Mehy/Nord) alors que le colosse sud était désigné sous le nom de Shami/Shama/Châma (peut-être à comprendre Shema/Sud).
La dernière inscription gravée en latin sur les pieds du Colosse de Memnon date du 5 février 196."
Les colosses d'Amenhotep III sont malheureusement fortement endommagés aujourd'hui.
Nonobstant, comme vous savez, cela date de l'Antiquité. Souvenez-vous pour cela de Strabon, il explique que l'origine de cette "destruction" aurait été le tremblement de terre de l'an 27 B.C.E. Ainsi, une grande partie du temple s'écroula et le colosse droit se fissura de l'épaule au bassin.
Une légende raconte même ...
Qu'à partir de ce moment là ...
Au lever du soleil ...
La statue commençe à émettre des sons, à "parler". En fait, ce phénomène serait dû à la dilatation du quartzite et ce bien évidemment sous l'action des premiers rayons de Râ.
Colossi of memnon 1929.
Luxor, West Bank.
© Francis Amin
Les colosses de Memnon affectes par l'une des dernières inondations du Nil 1960.
Marc Orriols Llonch - Egyptologist
"A picture taken on March 23, 2014 shows a part of a newly displayed statue of pharaoh Amenhotep III and his wife Tiye (Down) in Egypt's temple city of Luxor :
Two colossal statues of pharaoh Amenhotep III were unveiled by archaeologists today in their original sites in the funerary temple of the king, on the west bank of the Nile in Luxor, adding to the existing two famous ancient Memnon colossi."
© KHALED DESOUKI
Amenhotep III
à
Kôm el-Hettan
One of the tattooed legs of the "colossus of Memnon" (Amenhotep III) :
Au sein de son temple funéraire dans la nécropole thébaine près de Louxor.
© Tijana Kostandovski
Le colosse de Memnon ...
Il est bien le vestige le plus spectaculaires du temple funéraire édifié par Amenhotep III. Et ce sur cette rive occidentale de Thèbes.
Aussi ...
Un peu plus au sud ...
A Malgatta, pharaon avait fait construire un immense palais royal, dont certaines parties étaient dévolues à son fameux harem.
Mortuary Temple of Amenhotep III, Kom el-Hettan.
"Neb Maât Rê"
Râ est le Seigneur de la Maât ...
De nouvelles découvertes archéologiques offrent un éclairage inédit sur le règne d’Amenhotep III, surnommé le pharaon aux mille épouses, et grand-père de Toutankhamon ...
Adonc, souvenez-vous de Malqata d’Amenhotep III.
Amenhotep le Magnifique ...
Son règne ? De 1 386 à 1 353 B.C.E ...
Le plus grand bâtisseur de Kemet.
Le palais lui-même était situé à la lisière de la culture du désert, sur les hauteurs donnant sur les bâtiments administratifs et les résidences environnants. Comme vous savez, les palais royaux étaient si intimement liés au gouvernement du pays que leur nom, le pr-aa , finit par devenir synonyme du roi, le pharaon.
Bien proche, se trouvait un immense port artificiel, le Birket Habu.
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Nous sommes le 8 Mars 2014 ...
Un temple unique ...
Probablement le plus grand d'ailleurs jamais construit dans l'Égypte ancienne.
Nous sommes au sein de cette "Maison de Millions d'années" du Pharaon Aménophis III.
Ainsi pendant des siècles ...
Les seules traces de cette puissante construction furent bien le colosse de Memnon comme vous savez.
Impressionnants ...
Dominants l'horizon ...
Sur la rive ouest du Nil près de Louxor.
Nonobstant, durant ces dernières années ...
Beaucoup de chercheurs ...
Des archéologues qui ont littéralement tiré le temple hors du temps, hors de la terre, et ce n'est certainement que le début.
Alors admirez sur cette photo ...
Voici l'une des statues colossales d'Amenhotep III, elle se dresse bien fièrement encore de nos jours.
Saluant chaque matin Râ ...
Plan de l'article ...
→ Souvenez-vous ...
→ Une équipe d'archéologues ...
→ La réelle particularité de cette statue ...
→ Fille bien-aimée du souverain Amenhotep III ...
→ Iset ...
→ Une découverte au temple funéraire du pharaon Amenhotep III ...
→ Une nouvelle statue ...
→ Le temps passa par là ...
Souvenez-vous ...
Son règne est considéré comme le plus prospère de l'histoire de Kemet.
Nous évoquions, il y a quelques semaines, Amenhotep III ainsi que "sa probable" corégence avec son fils Amenhotep IV : lien ...
Alors aujourd'hui ...
Toujours au sujet d'Amenhotep III, nous parlerons d'une découverte relative à une de ses filles.
Une équipe d'archéologues ...
Les Égyptiens ...
Et les Européens auraient découvert une grande statue d'Iset et ceci au cours de travaux d'entretiens, de rénovations quant au temple mortuaire d'Amenhotep III.
Sur la rive occidentale de Louxor dixit le ministre et Dr Mohamed Ibrahim ...
La première allégorie de cette princesse dans ce contexte.
Fille de pharaon ...
Iset, fut seule représentée avec son père.
Voici bien la principale singularité de cette statue ...
La réelle particularité de cette statue ...
Elle vient bien du fait que nous connaissons Iset dans de nombreuses représentations.
Mais elle était toujours auparavant avec ses deux parents, ses sœurs, ...
Ces figurations, quelques peu classiques, quant à cette princesse sont affichées de nos jours dans le Musée égyptien du Caire.
Fille bien-aimée du souverain Amenhotep III ...
Elle se trouvait donc entre ses pieds ...
La princesse faisait bien partie d'une statue colossale du pharaon.
Une impressionnante sculpture.
Pharaon était assis sur le trône d'Horus.
Ses mains posées sur les genoux ...
Quant à sa seconde fille, Iset, elle se tenait debout entre ses jambes.
Représentée à une échelle beaucoup plus petite qu'Amenhotep III.
Munie d'une longue tunique ...
Elle portait aussi une perruque.
Tenait également un collier ménat dans sa main droite, un élément bien associé à la netjeret Hathor.
Dixit la responsable de l'équipe de chercheurs ...
L'archéologue arménienne Mme Hourig Sourouzian ...
Les sculptures que l'on connaissait d'elle nous la montraient toujours en présence de ses deux parents, ses frères, ...
De fait, nous serions donc bien là, en présence d'une grande statue, inédite et peut être même significative de ...
"Faisait partie d'une sculpture de 14 mètres
représentant Amenhotep III creusée dans de l'albâtre,
et
qui était à l'entrée (du sanctuaire) de Naos"
La responsable de l'équipe d'archéologues, Hourig Sourouzian.
Iset ...
Aset.
La "bien-aimée de son père" ...
Une vraie personnalité finalement :
La princesse Iset détenait aussi le titre de grande épouse royale ...
Puisqu'elle eue comme époux, son propre père.
En l'an 34 du règne de pharaon ...
Autour de sa deuxième fête-Sed ...
Une découverte au temple funéraire du pharaon Amenhotep III ...
Sur la rive occidentale de Thèbes.
A Kôm el-Hettan.
Les deux grands monolithes ...
Un site particulièrement célèbre grâce au temple d'Amenhotep III qui du reste a complètement disparu de nos jours. Seuls le fameux colosse de Memnon subsistent pour nos yeux ébahis.
Et comme vous le savez, c'est une immense statue assise du souverain.
Deux énormes monolithes devaient visiblement précéder le premier pylône du temple, commémorant ainsi la grandeur de pharaon.
Flanquées à l'entrée de son temple ...
"Vivre" … "La vie" … https://www.aime-jeanclaude-free.com/
Nous sommes bien au "Pays de la terre noire" ...
Kemet ...
Kmt ...
Un grand panache de poussière provenant du désert du Sahara.
Soufflé à travers la Libye et kmt en direction du Nord.
Photo prise le 2 Février 2003.
Aménophis III ...
Aménophis IV ...
Une corégence ? Voilà une question qui taraude moult historiens depuis bien des décennies. Les preuves matérielles semblent faire quelque peu défauts afin de valider une hypothèse qui "pourait" peut-être avoir du bon sens.
Alors y avait-il eu vraiment une corégence ?
Si elle fût réelle ...
Et si nous avions enfin trouvé une piste démontrant cet état de fait ? Alors une réponse amène bien logiquement d'autres questions comme par exemple de combien d'années a-t-elle pu perdurer ?
Notons au passage ...
Les premières années du règne d'Aménophis IV, futur Akhenaton comme vous savez, sont parsemées d'incertitudes.
Plan de l'article ...
→ Le ministre des antiquités ...
→ Nous sommes dans l'el-Asasif ...
→ Découverte d'une momie vieille de 2000 ans.
→ Deux nouvelles cartouches ...
→ Mais pourquoi le terme de deuxième fils ?
→ Situons les personnages dans l'espace-temps ...
→ Deux scènes ...
→ Tous les trente ans de règnes.
→ Maintenant ...
Le ministre des antiquités ...
Le Dr Mohammed Ibrahim nous rapporta, le 6 février 2014, une découverte que je qualifierais de remarquable. Tant l'incidence quant à son interprétation pourrait faire évoluer certaines de nos connaissances.
Je vous laisse apprécier ...
Découverte réalisée par une mission égypto-espagnole ...
Instituto de Estudios del Antiguo Egipto ...
Elle est dirigée par le Dr Francisco J. Martin.
Nous sommes donc au sein d'el-Asasif ...
Plus précisément, dans le sud du pays ...
Souvenez-vous, el-Assasif, est une petite vallée de Thèbes-ouest.
Juste à côté du légendaire temple funéraire d'Hatchepsout ...
Elle s'étend entre :
Voyez au fond...
On aperçoit difficilement le temple d'Hatchepsout ...
TT28 ...
Un hypogée dont le propriétaire aurait été un vizir du nom d'Amen-Hotep Huy.
Deux nouvelles cartouches auraient donc été également trouvés :
"Des inscriptions en hiéroglyphes
montrent également les noms
des deux rois l'un à côté de l'autre"
Le ministre des Antiquités Mohamed Ibrahim.
Source
Source
Une découverte ...
Dans cet hypogée TT28 sise à Louxor ...
Elle fut celui d'un cartouche portant deux noms, ceux :
Une suggestion semble bien visible.
Celle que ces deux pharaons furent associés dans la gouvernance de Kemet (?)
Deux cartouches ...
Ils "prouveraient" visiblement, "probablement", qu'une ancienne théorie pourait suggérer qu'Amenhotep III régna en corégence avec son deuxième fils Amenhotep IV.
Mais pourquoi le terme de second fils ?
Tout simplement ...
Car le véritable et premier héritier du trône d'Horus à cette époque fut en vérité son frère ainé, le dénommé Thoutmôsis.
Tout acte ...
Toute action ...
Tout événement a forcément des conséquences sur le présent, le futur ...
Ainsi, le décès prématuré du successeur d'Aménophis III, va changer la destinée et, peser aussi sur l'Histoire de Kemet.
En fait ...
Il semblerait bien que le jeune Aménophis IV n'était pas à la base destinée à régner. Cependant, il fut quand même préparer à régner.
L'Histoire aurait-elle été différente si Thoutmôsis avait survécu ?
Bien sûr ...
Situons les personnages dans l'espace-temps...
Nous sommes donc au sein même du Nouvel Empire.
Et de cette légendaire 18e dynastie ...
L'étendue de l'Égypte antique
à son apogée territoriale sous la 18e dynastie.
Ahmosis I (1 550 – 1 525)
Aménophis I (1 525 -1 504)
Thoutmosis I (1 504 -1 492)
Thoutmosis II (1 492 - 1 479)
Hatshepsout (1 479 - 1 458/57)
Thoutmosis III (1 479 -1 425)
Aménophis II (1 428 - 1 397)
Thoutmosis IV (1 397 - 1 388)
Aménophis III (1 388 - 1 351/50)
Aménophis IV/Akhenaton (1 351 - 1334)
"Semenkhkarê (1 337 - 1 333)"
Toutânkhamon (1 333 - 1 323)
Ay (1 323 - 1 319)
Horemheb (1 319 - 1 292).
Et voici une vue d'ensemble au cours de la période d'Akhet-Aton.
En vert : Kemet.
En jaune : le Hatti.
Le violet : le Kasite, royaume de Babylone.
Le rouge : le Mittani.
En orange : l'Achaïe, mycénien.
Les zones plus claires montrent un contrôle direct ...
Les zones sombres représentent les sphères d'influence ...
Deux scènes ...
Qui mettaient en scènes :
Amenophis III, le Magnifique.
Relief en calcaire.
© lien
Amenhotep IV ...
Louvre.
Ses inscriptions ...
Elles furent donc apparemment présentes au sein de la première fête Heb-Sed d'Amenhotep III.
Stèle du temple jubilaire d'Aménophis III à Thèbes.
Les rapports entre le souverain
et
le clergé d'Amon furent difficiles.
Ainsi, ce qui suit est sujet à discutions, selon moi.
La fête Heb-Sed fut-elle d'une origine préhistoire ?
Le souverain vieillissant était bien souvent évincé.
Rituellement ?
Physiquement ?
Alors cette fête Sed aurait substituée cet assassinat.
Symbolique ?
Réel ?
Les forces magiques lui furent alors renouvelées ?
Vérifiées ?
Tous les trente ans de règnes.
Nonobstant ...
Ce nombre d'années ne devait pas être un hasard puisque qu'il correspondait à peut près à l'espérance moyenne de vie d'un individu à cette période antique : et oui, trente années, que de chemins et d'années parcourues depuis.
On parlait alors de jubilés, de fêtes tout à fait royales.
Pharaon couronné ...
Il recevait alors un surcroît de puissance magique. Celle-ci lui était bien destiné afin d'assurer la régence de son royaume.
Mais, le souverain vieillissait. Et de fait, sa force s'affaiblissait aussi.
Alors, il lui fallait bien se réaffirmer aux yeux de son peuple mais également quant à son essence divine.
Cette fête en avait donc l'objectif.
Rites religieux ...
Épreuves physiques ...
...
Mais après la première ...
Les autres qui se produisaient, se réitéraient en des temps beaucoup moins espacés.
Ainsi, quant à Amenhotep III :
Maintenant ...
Dans l'attente de nouvelles investigations...
Aurons-nous le plaisir de pouvoir lire ou participer à un colloque s'y référant ?
"Cette découverte est importante
car
elle est la preuve que Amenhotep III
et
Amenhotep IV ont régné ensemble,
car (ces inscriptions)
datent du premier Heb-Sed d'Amenhotep III"
Le ministre des Antiquités Mohamed Ibrahim.
Pourquoi exprimer des doutes quant à cette régence qui semble se confirmer néanmoins aujourd'hui suite à cette nouvelle découverte ?
Simplement, souvenons-nous qu'un cartouche ne fut pas uniquement réservé à pharaon :
A suivre certainement, suite au débat qui devrait à nouveau s'établir quant à cette thématique.
Amenophis III en porte enseigne du nTr Amon dans le temple de Montou Karnak au nord.
Afin d'en connaître davantage, je vous invite à consulter :
"Some Considerations about the Tomb No. 28 in Asasif" donnée par le Dr. Francisco J. Martin (Mission espagnole dans l'Assassif), le samedi 12 décembre 2009 à 19h, en la salle de conférence du Musée de la Momification et ceci à Louxor ...
Marie-Ange Bonhême et Annie Forgeau, Pharaon, les secrets du pouvoir, p. 292.
Amenhotep III le magnifique", Agnès Cabrol, 2000, Editions du Rocher.
A.Darne Akhénaton l'hérétique, éditions Anne Carrière, Paris, 1999- ISBN 2-7028-3118-4 -
Spence, K., 1999. Le Palais du Nord à Amarna. Archéologie égyptienne 15, 14–16.
Armanien style de Jean LECLANT.
Aphorisme ...
Ceci pour autoriser et provoquer d'autres pensées !
Aucune prétention ...
Ne prétend pas tout dire ...
"Le créateur
a donné la magie à l'homme
afin,
qu'il puisse repousser l'effet fulgurant
de ce qui survient"
Khety